Merci d’être en retard de Thomas L. Friedman aux éd. Saint-Simon

Thomas Friedman ou le fascinant voyage dans l’ »ubérisation » qui crée autant qu’elle ne détruit le cloud

Thomas Friedman persiste et signe : non seulement la Terre est plate, mais en plus elle s’emballe ! Pour le meilleur et pour le pire. La raison de cet emballement ? La fameuse loi de Moore qui veut que la puissance des ordinateurs double tous les deux ans. Mieux encore, il n’y a pas que les ordinateurs, mais la puissance des logiciels aussi et celle des réseaux qui s’amplifie et s’accélère. Ces fabuleuses puissances s’accumulent dans le cloud (ou « nuage »), ces serveurs accessibles instantanément par tous et partout. Le potentiel de créativité et de destruction du « nuage » est d’ailleurs tel que Thomas Friedman l’a rebaptisé « supernova » : c’est elle qui permet « l’ubérisation » des sociétés, mais aussi Airbnb, et le terrorisme. Elle bouleverse en profondeur nos institutions, nos entreprises, notre travail et les écosystèmes de la planète.

Une incitation à prendre le temps de la réflexion plutôt que de céder à la panique. Parfois, le « retard » peut être salutaire.

Triple prix Pulitzer

Merci d’être en retard de Thomas L. Friedman aux éd. Saint-Simon

22,80 €(sortie mars 2017)