Le problème avec les enfants, c'est qu'ils grandissent. Un jour, sans prévenir, ils claquent les portes, rapportent de mauvaises notes et ne s'expriment que par onomatopées. Voici l'histoire d'un couple sur le point de craquer face aux assauts répétés de leur fils de 15 ans. L'école les lâche, le père part en vrille, la mère essaie d'éteindre l'incendie... C'est un roman sur l'amour familial où les sentiments sont à vif, comme sur un champ de bataille. Le problème avec les enfants, c'est qu'ils grandissent. Un jour, sans prévenir, ils claquent les portes, rapportent de mauvaises notes et ne s'expriment que par onomatopées. Surtout, ils cessent de vous considérer comme un dieu sur terre. Et ça, il faut l'encaisser. La science explique qu'ils n'y sont pour rien. C'est leur cerveau en formation qui les rend feignants, impulsifs et incapables de ramasser leurs chaussettes. N'empêche. On n'a jamais rien créé de pire que les adolescents du virtuolithique. Voici l'histoire d'un couple sur le point de craquer face aux assauts répétés de leur fils de 15 ans. Qu'ont-ils mal fait ? Rien. Mais la guerre est déclarée. Et ils ne sont pas préparés. L'école les lâche, le père part en vrille, la mère essaie d'éteindre l'incendie. C'est un roman sur l'amour familial où les sentiments sont à vif, comme sur un champ de bataille.
Approchant de la soixantaine, Antoine, directeur de presse, se rapproche de son père, veuf immigré de Sardaigne voici bien longtemps, analphabète, acariâtre et rugueux. Le vieillard accepte le retour du fils à une condition : qu’il lui apprenne à lire. Désorienté, Antoine se sert du plus inattendu des intermédiaires : un jeune prostitué aussitôt bombardé professeur. S’institue entre ces hommes la plus étonnante des relations. Il y aura des cris, il y aura des joies, il y aura un voyage. Le père, le fils, le prostitué. Un triangle sentimental qu’on n’avait jamais montré, tout de rage, de tendresse et d’humour. Un livre pour apprendre à se lire.
Quand j'ai eu douze ans, mes parents m'ont inscrite dans une école de riches. J'y suis restée deux années. C'est là que j'ai rencontré Ariane. Il ne me reste rien d'elle, ou presque. Trois lettres froissées, aucune image. Aucun résultat ne s'affiche lorsqu'on tape son nom sur Google. Ariane a vécu vingt ans et elle n'apparaît nulle part. Quand j'ai voulu en parler, l'autre jour, rien ne m'est venu. J'avais souhaité sa mort et je l'avais accueillie avec soulagement. Elle ne m'avait pas bouleversée, pas torturée, elle ne revient pas me hanter. C'est fini. C'est tout. » Elles sont collégiennes et s'aiment d'amour dur. L'une vient d'un milieu modeste et collectionne les complexes. L'autre est d'une beauté vénéneuse et mène une existence légère entre sa piscine et son terrain de tennis. L'autre, c'est Ariane, jeune fille incandescente avec qui la narratrice noue une relation furieuse, exclusive, nourrie par les sévices qu'elles infligent aux autres. Mais leur histoire est toxique et porte en elle un poison à effet lent, mais sûr. Premier roman sur une amitié féroce, faite de codes secrets et de signes de reconnaissance, à la vie à la mort.
Depuis plus de vingt ans, Sarah a rompu toute relation avec sa mère, une violoncelliste mondialement connue mais une femme totalement dénuée d’amour maternel. Pourtant, le jour ou Élise, la domestique de cette dernière, vient lui apprendre qu’elle se meurt, Sarah doit se résoudre à la revoir et à retourner dans la maison de son enfance, dont elle hérite. Une villa à l’atmosphère inquiétante, entre mer et forêt, totalement coupée du monde, qu’Élise continue d’entretenir. Peu à peu, Sarah se met à chercher les réponses aux questions qu’elle s’est toujours posées. Pourquoi sa mère était-elle si froide avec elle ? Pourquoi avait-elle brutalement interrompu sa carrière, pourtant exceptionnelle ? Pourquoi s’était-elle réfugiée dans un lieu si isolé ? Et qui envoie à Sarah ces photos d’elle petite fille qui atterrissent mystérieusement dans sa boîte aux lettres ? Dans ce palpitant thriller familial, Éric Russon s’interroge sur les liens entre les êtres, la désobéissance, et la façon dont l’histoire collective influence les destins individuels. En savoir plus sur https://polar.zonelivre.fr/eric-russon-bissextile/#gaBH4di0U0DuSTTP.99
Nous ne sommes jamais seuls. Tous les lieux sont « habités ». Les forêts, les montagnes, mais aussi les maisons. Qui d’entre nous n’a pas été pris d’angoisse dans certains paysages, ou au contraire s’y est senti à l’aise, enchanté ? Dans les demeures que nous avons choisies, anciennes fermes, forteresses ou châteaux, errent parfois des âmes qui s’en croient encore propriétaires et attaquent les nouveaux occupants. Patricia Darré nous raconte ici les fascinantes expériences qu’elle a vécues dans ces endroits « hantés », qu’on lui a demandé de venir libérer de leurs forces maléfiques. Elle n’y arrive pas avec un crucifix et de l’eau bénite. Elle y passe une journée, une nuit ou plusieurs et observe les manifestations. Meubles déplacés, coups dans les portes, souffles, odeurs, cris, pleurs… et habitants terrorisés, perdant leur équilibre physique et parfois mental. Puis elle enquête : qui a vécu ici ? Que lui est-il arrivé ? Et elle cherche à entrer en contact. Pour nÉgocier, libérer, non pas la maison, mais l’âme en peine de la souffrance qui la retient prisonnière. C’est un travail de compassion et d’amour, et les résultats sont surprenants. Cela dit, nul besoin d’aller toujours chasser les fantômes pour apprendre à sentir la « matière psychique » d’un lieu. L’auteure nous explique comment faire pour y parvenir. Elle nous apprend aussi à ne pas avoir peur de certaines présences que l’on sent, ou même voit dans un demi-sommeil. Ce sont peut-être des êtres chers qui viennent nous visiter, ou des inconnus inspirés qui ainsi nous protègent, nous conseillent, nous avertissent d’un danger. Marcel Proust disait : « Tout est signe et tout signe est message »
Deux jeunes filles réunies à travers les siècles par une mystérieuse partition. Deux cœurs passionnés de musique et de liberté. Une ville, Venise du temps de Vivaldi et aujourd'hui. À 17 ans, Lionella, d'origine italienne, ne vit que pour le violoncelle, ce qui la distingue des autres adolescents de Seraing, la ville où elle habite en Belgique. Elle peine toutefois à trouver le morceau qui la démarquerait au prochain grand concours Arpèges. Jusqu'au jour où son meilleur ami lui apporte un coffret en métal, déniché dans une brocante. Lionella y découvre un journal intime, une médaille coupée et ... une partition pour violoncelle qui ressemble étrangement à une sonate de Vivaldi. Elle plonge dans le destin d'Ada, jeune orpheline du XVIIIe siècle, pensionnaire de l'Ospedale della Pietà, à Venise, dans lequel «le prêtre roux», Antonio Vivaldi, enseignait la musique à des âmes dévouées. Entremêlant les époques avec brio, ce premier roman vibrant nous fait voyager à travers la Sérénissime, rencontrer l'un des plus grands compositeurs de musique baroque, et rend un hommage poignant à ces orphelines musiciennes, virtuoses et très réputées au XVIIIe siècle, mais enfermées pour toujours dans l'anonymat. Christiana Moreau est aussi peintre et sculptrice! Visiter son blog: http://christianemoreau.blogspot.be/
Une collection de livres faciles à lire! Avec de très courts chapitres et une écriture accessible. Pour les lecteurs occasionnels, les personnes en convalescence, les apprenants de la langue Française... Et un confort de lecture (grande police d'écriture).
Venise, 1740. À peine remis de l’échec de son dernier opéra, don Antonio est contraint à un nouveau succès s’il ne veut pas être cloîtré à la Pietà, l’établissement pour jeunes orphelines où il enseigne la musique. D’autant que l’on prétend que sa musique est vieille, sans parler des rumeurs qui bruissent sur les mœurs du vieux prêtre. Son ami l’ambassadeur d’Espagne lui présente alors Lorenzo, qui écrira un livret à la hauteur du défi. Défi multiple, car il s’agira aussi pour le compositeur de sauver certaines de ses élèves les plus douées et les plus jolies. Se mettent alors en mouvement des rouages qui pourraient broyer à jamais le destin du prêtre roux. Ou le conduire à la gloire, une ultime fois… Ce que l’on sait de la vie de Vivaldi tient en quelques anecdotes, et tout le monde ignore les raisons pour lesquelles il a quitté Venise pour Vienne, où il mourra. Vincent Engel a puisé les confidences du plus célèbre des compositeurs vénitiens dans sa musique ; c’est elle qui lui a dicté les pensées et les gestes de cet amoureux de la vie.
Une étrange épidémie a eu lieu dernièrement Et s’est répandue dans Strasbourg De telle sorte que, dans leur folie, Beaucoup se mirent à danser Et ne cessèrent jour et nuit, pendant deux mois Sans interruption, Jusqu’à tomber inconscients. Beaucoup sont morts. Chronique alsacienne, 1519